Pour ceux qui connaissent le Domaine de la Crapaudine, vous avez du en voir un, fraîchement construit. Non seulement c'est utile, mais en plus c'est joli à l'oeil, ce qui ne gâche rien.
Je vous propose la méthode ici : http://www.terrevivante.org/237-constru ... scetes.htm
Et pendant qu'on y est : http://www.terrevivante.org/735-loger-l ... iniers.htm
Les bricoleurs, au boulot !
L'hôtel à insectes
L'hôtel à insectes
Les idées sont des apparitions provisoires de l'infini. Alessandro Baricco
Re: L'hôtel à insectes
Ce week end, je suis allée à une journée "Jardinage au naturel". Il y avait notamment des conférences dont je n'ai rien loupé.
A propos des hôtels pour insectes, mis à part le fait que le conférencier ait précisé qu'il valait mieux faire marcher ses bras et ses mains pour confectionner le plus simplement possible la chose, il a donné une précision intéressante à propos des papillons : éviter de prévoir une chambre à papillons, car à coup sûr madame araignée s'en lècherait les crocs à l'avance (ce qui tombe sous le sens). Cela aurait pour conséquence notamment de décimer la population de papillons Citrons (dont j'avais appris par Alain qu'il est le seul à passer l'hiver avec brio, en se laissant congeler et décongeler sans problème). L'abriter serait donc le jeter dans la gueule du loup.
Autre précision : les insectes raffolent des ronces et branches de rosiers élaguées. Nouées en petits fagots et simplement suspendues à un arbre, c'est suffisant.
A propos des hôtels pour insectes, mis à part le fait que le conférencier ait précisé qu'il valait mieux faire marcher ses bras et ses mains pour confectionner le plus simplement possible la chose, il a donné une précision intéressante à propos des papillons : éviter de prévoir une chambre à papillons, car à coup sûr madame araignée s'en lècherait les crocs à l'avance (ce qui tombe sous le sens). Cela aurait pour conséquence notamment de décimer la population de papillons Citrons (dont j'avais appris par Alain qu'il est le seul à passer l'hiver avec brio, en se laissant congeler et décongeler sans problème). L'abriter serait donc le jeter dans la gueule du loup.
Autre précision : les insectes raffolent des ronces et branches de rosiers élaguées. Nouées en petits fagots et simplement suspendues à un arbre, c'est suffisant.
Les idées sont des apparitions provisoires de l'infini. Alessandro Baricco